2 Orcomiens sur 3 sont des femmes. A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes qui a lieu le 8 mars, nous avons choisi de vous présenter 1 Orcomienne par jour, tout au long de la semaine. Partons à New-York où travaille et vit Sandra Mekam Darboux, branch manager chez ORCOM KVB. Pour ce portrait outre-atlantique, il faut imaginer la vue sur la Statue de la Liberté… tout un symbole !
Quel est votre parcours chez ORCOM ?
Après quelques années passées sur Paris en conseil et audit financier, J’ai rejoint ORCOM KVB New-York en tant que collaboratrice en février 2016. Quelques mois après mon arrivée, j’ai été promue chef de mission. J’ai occupé ce poste pendant deux ans et depuis juillet 2018, je suis directrice du bureau de New-York. Je m’occupe également de la fonction RH pour toute la zone US.
En trois mots, comment décririez-vous votre rôle ?
Développer le capital humain, optimiser la relation client et coordonner les activités et les équipes afin d’opérationnaliser la stratégie d’ORCOM KVB.
Qu’est-ce qui vous fait vous lever le matin ?
Mon optimiste naturel et ma réelle conviction que chaque moment que l’on vit est précieux car le temps ne nous appartient pas. On ne vit qu’une fois et je suis convaincue qu’’il faut tirer profit, apprendre et grandir de chaque expérience que l’on vit et de chaque personne que l’on rencontre sur son parcours de vie. L’envie également au quotidien de donner le meilleur de moi et motiver mon entourage afin de réussir collectivement car aucun de nous, en agissant seul, ne peut atteindre le succès.
Quels sont vos principaux défis professionnels ?
A ce stade de mon parcours professionnel, le plus grand défi professionnel selon moi a été et reste encore la gestion du capital humain. En particulier dans notre cœur de métier car l’humain reste au cœur de la relation client et une bonne gestion des équipes garantit la satisfaction des clients mais également la pérennité et qualité des services vendus.
Un autre grand enjeu selon moi pour tout manager surtout dans le contexte de crise que nous vivons actuellement est de ne pas se disperser dans ses activités et avant d’agir de prendre conscience de l’état d’esprit de ses équipes notamment en investissant dans la relation directe. Un défi majeur pour moi est ainsi d’améliorer et développer mes compétences en soft skills (écoute, coopération, créativité, capacité à donner des feedbacks, …).
Si vous pouviez être quelqu’un d’autre le temps d’une journée, qui aimeriez-vous être ?
Si j’avais plusieurs vies j’aurais voulu être dans chacune, l’une de ces trois femmes que j’admire profondément :
- Ruth Bader Ginsburg : avocate, juriste, deuxième femme nommée à la plus haute juridiction fédérale, elle a adopté des positions résolument libérales et a été tout le long de sa vie une fervente militante pour le droit des femmes et discrimination envers les femmes.
- Ngozi Okonjo-Iweala : économiste, première femme à la tête de l’OMC et surtout brillante réformatrice qui a brisé, à plusieurs reprises, le plafond de verre auquel les femmes se heurtent encore.
- Serena Williams : l’une des plus grandes joueuses de tous les temps qui s’est toujours battue contre les stéréotypes et la misogynie qui visent les femmes dans le milieu du sport.
Quand est la dernière fois où vous avez ri aux larmes ?
Aujourd’hui… J’ai le rire très facile et je ris très souvent aux larmes.
Que contient votre liste de vœux pour ces 5 prochaines années ?
- Être en bonne santé et mon entourage également
- Passer des moments qualitatifs avec mes proches
- Être épanouie personnellement et professionnellement