Le coût du crédit dépend du montant emprunté, de la durée du prêt et du taux obtenu. Il convient d’être attentif au coût total du crédit (appelé taux effectif global ou TAEG), de considérer les intérêts (taux fixe ou taux variable) mais, également :
- le coût de l’assurance, des frais de dossier…
- les possibilités et conditions de :
- remboursement anticipé
- modulation à la hausse ou la baisse ou suspension des remboursements…
Vous disposez d’un délai de réflexion minimal de 10 jours pour accepter une offre de prêt. Après signature du contrat, une rétractation ne sera plus possible.
Il n’existe pas de droit au crédit : un emprunt peut vous être refusé même si, celui-ci respecte le « taux d’effort » maximal de 35 % sur une durée de 25 ans.
Il vous est possible de souscrire une assurance emprunteur auprès d’un autre organisme que la banque, de changer d’assurance à tout moment pendant les 12 mois suivants l’acceptation du prêt ou encore, chaque année à la date anniversaire du prêt immobilier.
Le Privilège de prêteur de deniers permet à la banque d’être indemnisée en priorité, lors de la vente du bien, en cas de non-remboursement du prêt immobilier.
Il existe des dispositifs qui peuvent venir en complément ou en substitution des crédits immobiliers classiques, en voici quelques exemples :
http://www.financement-logement-social.logement.gouv.fr/IMG/pdf/avisloyersredevances2021_annexes_cle7a97dd.pdf
(1) Permet de bénéficier des aides aux logements (APL, ALS, ALF)
(2) Les frais annexes (ex dossier) sont généralement moins chers
(3) TVA réduite
Exonération de taxe foncière pendant toute la durée de la convention
Pensez également à vous rapprocher de vos collectivités territoriales (mairie ou département) ; caisses de retraite complémentaires et mutuelles qui peuvent proposer des prêts à des conditions variables en fonction de l’organisme.