Par principe, les parents doivent continuer à contribuer à l’entretien et à l’éducation de l’enfant jusqu’à ce que celui-ci dispose de moyens suffisants pour subvenir à ses besoins. Un « petit boulot » (en l’espèce 220 euros par mois) ne permet pas de justifier la suppression d’une pension alimentaire.
Cour de cassation, 1ère chambre civile du 12 février 2020, pourvoi n°19-13368